Les pratiques actuelles font gronder de colère les locaux, mais aussi les touristes. Entre juillet en janvier des milliers de tonnes de moules non conformes sont jetés sur l’estran, environ un tiers de chaque récolte quotidienne tapisse les routes de la baie proches de la côte. En conséquence une odeur nuisible, des risques sanitaires importants, majorés lors des fortes chaleurs à cause de la putréfaction des moules, et des pratiques contradictoires dans une zone naturelle protégée. De plus, davantage de voix se plaignent de la baisse de la qualité des célèbres moules : plus petites et moins gouteuses.
Tous ces éléments nécessitent une restructuration de fond afin d’enrayer les problèmes et de sauver la baie. Des solutions seraient envisagées pour récupérer les milliers de tonnes de moules non conformes jetées au sol. « Les pratiques des mytiliculteurs seront davantage contrôlées » raconte Arnaud Barbé, maire du Vivier-sur-Mer.
Tous ces éléments nécessitent une restructuration de fond afin d’enrayer les problèmes et de sauver la baie. Des solutions seraient envisagées pour récupérer les milliers de tonnes de moules non conformes jetées au sol. « Les pratiques des mytiliculteurs seront davantage contrôlées » raconte Arnaud Barbé, maire du Vivier-sur-Mer.