Face à ses détracteurs Arnaud Barbé et sa famille tiennent à redresser l’image du métier. Certes le développement de l’activité autour du Mont-saint-Michel est à son comble mais seule une partie des producteurs décident d’aller à l’encontre des limites de la nature. Soutenus par des élus locaux qui remettent en cause l’extension des zones naturelles protégées, afin d’étendre les zones d’élevages. Ces derniers souhaitent également exploiter le littoral par des constructions et un développement massif du tourisme. Scindant alors en deux le groupe fermé des mytiliculteurs.