Michel, l’un des « familiers ». Sa présence aux Béatitudes est liée à son parcours.
D’une famille catholique et pratiquante, il est entré chez les bénédictins de Croixrault à 22 ans, espérant confirmer son engagement religieux. Ses difficultés à affronter les épreuves le font revenir chez ses parents avant de tomber en dépression, liée à une perte de repères cumulée à des problèmes familiaux, il sera hospitalisé quelques mois. Progressivement il prend conscience de sa fragilité psychologique tout en cheminant sur son désir toujours présent, d’une vie consacrée à Dieu et aux autres. Il découvre les Béatitudes à Cambrai où il y restera jusqu’à la fermeture de la maison, puis intègre celle de St Broladre en 2010.